Comment dire......
Un restaurant vraiment moche, mais vraiment vraiment moche, des chaises en plastique et complétement bancale, une vue HORRIBLE sur la rue avec bien sûr l'odeur de pollution des voitures qui passent.
En termes de nourriture, je n'ai jamais eu à devoir coupé mon riz tellement qu'il était compacté. Les brochettes, les brochettes..... trois pauvres bout de "viande" même si c'était plus un tas d'os accroché à un bâton, de la viande sèche et dure.
La seule chose qui passait était les pizzas, pas mauvaise mais se n'était pas de pizza mais plutôt des crêpes à la sauce tomate.
En se qui concerne le prix, excessif. Pour la qualité des ingrédients, et le cadre dans le quelle nous étions, c'était hors de prix.
depuis le trois octobre le trois je crois je me disais que pour être interrompu ou inachevé le très long texte recelait de vraies possibilités et qu'il suffisait suffirait eût suffi de s'y remettre et la machine reprendrait du galon non là cette image-là ne va pas je mélange les formules croise les figures de style et donc je pensais qu'il me faudrait toutes proportions gardées envisager ces carnets comme Paul Valéry travaillant régulièrement et sans espoir d'en finir jamais chaque matin à ses Cahiers désormais regroupés en deux tomes en Pléiade et que j'ai dévorés consultés admirés lus compulsés longuement naguère mais il faudrait dire jadis ou balancer entre les deux lus disons entre 1993 et 1997 et donc toutes proportions gardées je me verrais bien ainsi à reprendre tel chantier interrompu trois mois et le faisant avancer un petit peu mais enfin ce n'est pas possible il ne va pas se comparer à Paul Valéry l'autre oiseux oisif ex-oisien de surcroît ancien oisien into the bargain non il ne va pas se comparer à Paul Valéry tout de même alors que seulement et il nous l'a dit même avec métaphores tout le tintouin oui oui noir sur blanc dit ce n'est rien d'autre qu'un affreux